J'ai pas très bien compris tout les ficelles de l'histoire. J'ai compris que les personnages étaient a la fois lié entre eux et face a eux même dans leur réflexion a travers la vie. Et ce que je trouve plutôt bien fait d'ailleurs, car je trouve que cela renoue vraiment avec le romantisme littéraire des années 20 et que chaque facette de leur destin ne se détache pas d'une certaine promiscuité et ça franchement chapeau. En revanche, pourquoi toujours interroger le personnage sur ses origines viscérales ?
He bien, mon cher ami, c'est très simple : cela peut s'expliquer par un manque profond d'imminence tant dans le caractère que dans la forme. En cela, j'ai voulu créer un effet de style, rappelant à la fois nos mères et nos grand-mère se tuant le dos dans les champs, et à la fois l’émergence du mouvement Nouvelle vague en France qui est apparu suite au trop plein de la guerre de 1856. L'exercice est ardu, mais un retour aux sources antinomiques m'ont emmenées sur le terrain fougueux et vivaces des coups de pinceaux du très regretté Carlos, ce peintre des années 1980, qui jouais avec son cœur comme un oiseau joue avec des bouts de pain. Merci.
J'ai pas très bien compris tout les ficelles de l'histoire. J'ai compris que les personnages étaient a la fois lié entre eux et face a eux même dans leur réflexion a travers la vie. Et ce que je trouve plutôt bien fait d'ailleurs, car je trouve que cela renoue vraiment avec le romantisme littéraire des années 20 et que chaque facette de leur destin ne se détache pas d'une certaine promiscuité et ça franchement chapeau. En revanche, pourquoi toujours interroger le personnage sur ses origines viscérales ?
Que de COULEURS ! C'est beau !
RépondreSupprimerJ'approuve sans réserve le titre du carnet.
. J'adore ce genre de book, c'est exactement ce que
RépondreSupprimerj'aimerais avoir sous les yeux lorsque je m'ennuie !
j'adore les carnets, on a un peu l'impression d'entrer dans l'intimité de la personne qui les réalise, mais surtout c'est beau !
RépondreSupprimerJ'ai pas très bien compris tout les ficelles de l'histoire. J'ai compris que les personnages étaient a la fois lié entre eux et face a eux même dans leur réflexion a travers la vie. Et ce que je trouve plutôt bien fait d'ailleurs, car je trouve que cela renoue vraiment avec le romantisme littéraire des années 20 et que chaque facette de leur destin ne se détache pas d'une certaine promiscuité et ça franchement chapeau. En revanche, pourquoi toujours interroger le personnage sur ses origines viscérales ?
RépondreSupprimerHe bien, mon cher ami, c'est très simple : cela peut s'expliquer par un manque profond d'imminence tant dans le caractère que dans la forme. En cela, j'ai voulu créer un effet de style, rappelant à la fois nos mères et nos grand-mère se tuant le dos dans les champs, et à la fois l’émergence du mouvement Nouvelle vague en France qui est apparu suite au trop plein de la guerre de 1856. L'exercice est ardu, mais un retour aux sources antinomiques m'ont emmenées sur le terrain fougueux et vivaces des coups de pinceaux du très regretté Carlos, ce peintre des années 1980, qui jouais avec son cœur comme un oiseau joue avec des bouts de pain. Merci.
SupprimerJe trouve ton discours très extrême, mais bon, chacun sont avis après. Tu fais des raccourcis assez vexant je trouve.
SupprimerJ'ai pas très bien compris tout les ficelles de l'histoire. J'ai compris que les personnages étaient a la fois lié entre eux et face a eux même dans leur réflexion a travers la vie. Et ce que je trouve plutôt bien fait d'ailleurs, car je trouve que cela renoue vraiment avec le romantisme littéraire des années 20 et que chaque facette de leur destin ne se détache pas d'une certaine promiscuité et ça franchement chapeau. En revanche, pourquoi toujours interroger le personnage sur ses origines viscérales ?
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